Acheter un bien immobilier ancien et restauré en Italie

Acquérir un bien immobilier ancien et restauré en Italie, c’est embrasser un mode de vie authentique. Notamment en mêlant patrimoine, tranquillité et beauté intemporelle. Imaginez-vous au cœur des collines verdoyantes de la Toscane ou de l’Ombrie, dans une maison où chaque pierre raconte une histoire. Que ce soit une ferme toscane entourée de cyprès ou une demeure ombrienne avec vue sur des oliveraies. Ainsi, chaque propriété a le pouvoir d’éveiller un rêve… celui d’une escapade permanente au cœur de l’élégance italienne.

Reportage: Propriété à vendre en Toscane et Ombrie

 Acheter un bien immobilier ancien déjà restauré

Que se soit en Toscane, en Ombrie ou ailleurs en Italie, voici une excellente idée pour profiter du charme des paysages italiens et de l’authenticité des maisons traditionnelles. Voici quelques pistes pour vous aider :

  • Ombrie : Vous pouvez trouver des propriétés restaurées ou à restaurer sur des plateformes comme Idealista ou Realportico, qui proposent des maisons de campagne, des fermes et même des châteaux.
  • Toscane : La région regorge de maisons de campagne et de fermes rénovées. Vous pouvez consulter les annonces sur Immobiliare.it pour voir les offres disponibles.
  • Autres régions : Il existe également des propriétés en vente dans des endroits comme Deruta ou Cannara en Ombrie, avec des maisons de différentes tailles et prix.

Si vous cherchez une maison avec un cachet historique et une rénovation de qualité, ces plateformes vous permettront de comparer les offres et de trouver celle qui correspond le mieux à vos attentes.

Vous avez déjà une région préférée en tête ?

Investir dans une demeure au charme d’antan, c’est bien plus qu’un achat immobilier! Mais plutôt, une invitation à vivre au rythme d’une culture riche et d’un paysage envoûtant. Entre la douceur de vivre et la noblesse des matériaux restaurés, chaque maison devient une histoire à écrire au fil du temps. Alors, êtes-vous prêt à tourner la clé et à commencer un nouveau chapitre sous le soleil italien ?

Les dernières innovations dans la construction en Europe de l’Ouest

L’Europe de l’Ouest s’impose comme laboratoire mondial de la construction durable. Ces expérimentations influencent déjà les pratiques constructives mondiales. Le secteur immobilier européen anticipe ainsi les défis climatiques de demain tout en créant de nouveaux standards d’habitabilité.

L’Europe de l’Ouest révolutionne actuellement le secteur de la construction

Les architectes et ingénieurs européens repoussent les limites technologiques pour créer des bâtiments plus durables, intelligents et économes en énergie.

Impression 3D et construction robotisée

Les Pays-Bas mènent la danse avec leur premier quartier imprimé en 3D à Eindhoven. Ce projet pilote comprend cinq maisons entièrement construites par impression béton. Chaque structure nécessite seulement 120 heures d’impression. Les murs courbes et les formes organiques deviennent désormais possibles sans surcoût.

La Suisse développe parallèlement des robots constructeurs autonomes. L’ETH Zurich teste des machines qui assemblent des structures complexes sans intervention humaine. Ces robots réduisent les délais de construction de 40% tout en améliorant la précision.

Matériaux biosourcés et économie circulaire

L’Allemagne investit massivement dans les matériaux biosourcés. Berlin accueille plusieurs projets pilotes utilisant du mycélium comme isolant naturel. Ce champignon remplace efficacement les isolants synthétiques traditionnels.

La France développe des bétons révolutionnaires à base d’algues marines. Ces nouveaux composés captent le CO2 pendant leur durcissement. L’entreprise française Lafarge teste ces innovations sur plusieurs chantiers parisiens.

L’Autriche pousse l’utilisation du bois lamellé-collé à grande échelle. Vienne construit actuellement la plus haute tour résidentielle en bois d’Europe avec 84 mètres de hauteur.

Intelligence artificielle et bâtiments connectés

Les Pays-Bas intègrent l’IA dans leurs nouveaux quartiers. Amsterdam développe des systèmes prédictifs qui anticipent les besoins énergétiques des habitants. Ces algorithmes optimisent automatiquement chauffage, éclairage et ventilation.

Voir aussi: Le rôle de l’Intelligence Artificielle dans la gestion immobilière

L’Espagne mise sur les façades intelligentes. Barcelone teste des murs qui s’adaptent aux conditions météorologiques. Ces surfaces modifient leur perméabilité selon l’humidité extérieure.

Projets phares qui marquent le secteur de l’Europe de l’Ouest

Le Danemark impressionne avec CopenHill, une centrale électrique surmontée d’une piste de ski artificielle. Cette prouesse technique démontre comment combiner utilité urbaine et loisirs.

La Norvège construit l’Energipositive à Trondheim, un immeuble qui produit plus d’énergie qu’il n’en consomme. Ce bâtiment révolutionnaire intègre panneaux solaires, géothermie et récupération de chaleur.

La Belgique développe le concept de fermes verticales intégrées. Bruxelles teste des immeubles résidentiels incluant des espaces de culture hydroponique. Les habitants produisent leurs légumes directement dans leur immeuble.

Défis énergétiques et solutions innovantes

L’Europe impose des normes énergétiques toujours plus strictes. Les constructeurs répondent par des innovations audacieuses. Les pompes à chaleur géothermiques se généralisent dans les nouveaux projets.

Les systèmes de stockage d’énergie évoluent rapidement. La Suède teste des batteries architecturales intégrées directement dans les murs porteurs. Ces éléments stockent l’électricité produite par les panneaux solaires.

Perspective d’avenir

Ces innovations transforment radicalement le paysage urbain européen. Les villes deviennent plus vertes, plus intelligentes et plus résilientes. Les coûts de construction diminuent grâce à l’automatisation croissante.

La révolution constructive européenne ne fait que commencer.

Pour conclure, les prochaines années verront l’industrialisation de ces innovations prometteuses. Les investisseurs avisés surveillent déjà ces marchés émergents. L’immobilier européen entre dans une nouvelle ère où durabilité rime avec rentabilité.

Cap immobilier en 2025 dans l’Union européenne

Le cap immobilier européen ne suit plus les anciennes routes. Il trace de nouveaux axes, plus audacieux, plus rentables, mais aussi plus complexes à maîtriser. Voici une cartographie précise et actualisée des opportunités immobilières dans l’UE en 2025.

Le cap immobilier en Europe centrale

Les investisseurs se ruent en 2025 sur la Pologne, la Roumanie et la Hongrie. Ces marchés proposent une rare combinaison : croissance économique soutenue, inflation contenue, et urbanisation rapide.

Varsovie

À Varsovie, le mètre carré reste autour de 2 300 €/m², bien en dessous des capitales d’Europe de l’Ouest. Les loyers ont progressé de 9,1 % en glissement annuel, notamment dans le neuf à haute performance énergétique. La demande locative est portée par l’arrivée massive de travailleurs IT et de familles ukrainiennes en reconversion durable.

Bucarest

Dans cette ville, le secteur résidentiel est boosté par les allègements fiscaux votés en janvier 2025 : exonération d’impôt sur les revenus locatifs pendant 5 ans pour les logements rénovés aux normes NZEB. Les promoteurs étrangers y testent des formats hybrides : co-living, bureaux-logements et micro-units.

Budapest, de son côté, devient un laboratoire Airbnb post-crise.

Depuis l’assouplissement de la régulation touristique votée par le Parlement en février, les rendements nets dépassent 6,5 % dans les quartiers de Józsefváros et Ferencváros, très prisés par les étudiants étrangers. La ville attire des opérateurs allemands et israéliens spécialisés dans le segment haut de gamme.

Cap immobilier et logistique verte

La transition verte crée une demande nouvelle en immobilier logistique dans l’Union. L’adoption du paquet Fit for 55 impose dès juillet 2025 des normes drastiques sur les émissions du transport routier. Résultat : les géants de la distribution délocalisent leurs centres logistiques vers des zones moins chères, mais connectées au rail et aux ports.

La Slovénie attire Lidl, Amazon et Decathlon qui investissent dans des plateformes décarbonées autour de Koper et Ljubljana. Le foncier s’y négocie à moins de 80 €/m² avec un taux de vacance quasi nul. En parallèle, des fonds français (Primonial, Perial) lancent des SCPI européennes ciblées sur ces entrepôts durables, offrant des rendements attendus de 5 à 5,8 % nets.

Même logique en Espagne, où l’Andalousie, grâce au port d’Algésiras et aux subventions NextGenerationEU, devient une zone logistique émergente. La rentabilité locative dans l’immobilier d’activité dépasse 7 % dans certaines zones franches.

L’immobilier résidentiel secondaire et le haut de gamme

L’immobilier secondaire reprend une vigueur inattendue. L’après-Covid avait laissé des résidences touristiques vides. Mais l’effet combiné du télétravail stabilisé, des retraites transfrontalières et des visas “nomades” relance le segment.

Au Portugal, les achats étrangers explosent de 22 % sur le premier trimestre 2025, avec un regain à Porto, Coimbra et dans l’Alentejo intérieur. Les investisseurs ciblent des maisons individuelles rénovées avec panneaux solaires et fibre optique. Le rendement locatif en location meublée annuelle s’approche de 6 % net à Braga, avec des prix d’acquisition encore autour de 1 700 €/m².

Voir aussi – Grèce : comment la « Golden Visa » a transformé le marché immobilier d’Athènes

En Grèce, la réforme foncière de 2024 porte ses fruits. Athènes facilite les titres de propriété et relance des appels à projets dans les Cyclades continentales. Des promoteurs développent avec beaucoup de gout des résidences de luxe en bord de mer, éligibles au statut de résidence fiscale non habituelle. Les préventes s’envolent : plus de 60 % réservées avant livraison dans les projets de Paros et Naxos.

Cap immobilier urbain et réhabilitation

Le Green Deal impose une accélération de la rénovation énergétique. L’immobilier de centre-ville dans les grandes métropoles redevient attractif… mais conditionné à la rénovation. Les fonds d’investissement value-add multiplient les opérations sur les immeubles anciens mal classés DPE.

À Bruxelles, le plan Horizon Zéro Carbone 2033 stimule la reconversion des bâtiments tertiaires vides. Les surfaces de bureaux vacants sont transformées en logements sociaux ou intermédiaires, avec subvention publique couvrant jusqu’à 40 % des travaux énergétiques.

À Berlin, la levée du plafonnement des loyers pour les logements rénovés BBC change la donne. Des foncières comme Vonovia ou LEG Immobilien repositionnent leur parc sur ce créneau. Les investissements institutionnels reviennent après deux ans d’arrêt net.

Même mouvement à Milan, où le Plan Nazionale Ripresa e Resilienza favorise les partenariats public-privé pour convertir les anciens sites industriels en quartiers mixtes durables. Les rendements à 10 ans attendus dans ces opérations dépassent 9 % brut, avec plus-value estimée à deux chiffres.

Cap immobilier réglementaire et fiscal

Le droit européen harmonise peu à peu les conditions d’investissement. Depuis avril 2025, le Cadre Européen de Transparence Foncière est entré en vigueur. Il impose une standardisation des données cadastrales et de propriété à l’échelle des 27 pays. Les investisseurs disposent enfin d’un accès unifié aux risques juridiques via la plateforme LEX-EU.

En parallèle, de nouveaux statuts fiscaux avantageux apparaissent. La Belgique vient d’adopter un régime “BE-REIT” allégé pour les investisseurs étrangers non-résidents, avec une retenue à la source ramenée à 10 % sur les dividendes. En Espagne, la loi sur les “socimis rurales” permet d’investir dans des logements agricoles rénovés avec exonération totale des plus-values au bout de 8 ans.

Le cadre réglementaire rassure et attire des capitaux. En 2025, selon JLL Europe, plus de 13,2 milliards d’euros ont été investis au premier trimestre dans l’immobilier résidentiel en Europe, en hausse de 18 % sur un an.

Immobilier et intelligence artificielle

La dernière frontière : l’analyse algorithmique. En 2025, les grandes plateformes d’investissement intègrent l’IA pour prédire les hausses de valeur, optimiser les choix fonciers et arbitrer les risques climatiques.

Des fintechs comme Brickwise (Autriche) ou Homunity AI (France) proposent des solutions d’allocation dynamique basée sur l’évolution en temps réel des marchés locaux. Leurs algorithmes croisent données cadastrales, météo, consommation énergétique et fiscalité locale. L’IA identifie désormais les “zones chaudes” avant tout le monde.

Cela transforme la stratégie des particuliers fortunés et des family offices.

Ces derniers abandonnent les SCPI classiques pour des véhicules immobiliers pilotés par data science, ciblant le top 3 % des zones à potentiel haussier élevé sur 5 ans.

Pour conclure, l’Union européenne en 2025 devient un vaste terrain d’opportunités immobilières nouvelles. Grâce aux transitions numérique, énergétique et géopolitique, de nombreux segments sortent de l’ombre : logistique verte, secondaire connecté, réhabilitation urbaine, foncier agricole repensé. La clé du succès : combiner lecture fine du contexte réglementaire, adoption d’outils intelligents et ancrage territorial. Pour qui sait lire les signaux faibles, le cap immobilier européen n’a jamais été aussi riche.

Changer d’assurance emprunteur en Europe

Des règles françaises très favorables

En France, la loi Lemoine permet de changer d’assurance emprunteur à tout moment sans frais. C’est un avantage majeur pour les emprunteurs. Aucun autre pays européen n’offre autant de souplesse.

Reportage vidéo RMC

Ce qui se passe ailleurs avec l’assurance emprunteur

En Allemagne, l’assurance emprunteur n’est pas obligatoire. Les emprunteurs choisissent librement s’ils veulent s’assurer, souvent via une assurance décès simple. La banque ne l’impose pas.

En Espagne, l’assurance reste fortement recommandée, voire exigée. Mais les lois européennes interdisent aux banques de conditionner un prêt à la souscription de leur propre assurance. En pratique, beaucoup d’emprunteurs ignorent leurs droits.

En Italie, la délégation d’assurance est autorisée, mais peu pratiquée. Les offres restent opaques, et les banques dominent le marché.

Aux Pays-Bas, l’assurance emprunteur s’utilise relativement peu. Le système repose davantage sur la confiance dans la capacité de remboursement et sur des hypothèques sécurisées.

Pourquoi la France fait figure d’exception

Grâce aux lois Hamon (2014), Bourquin (2018) puis Lemoine (2022), la France a mis en place un cadre très protecteur. Le marché s’est ouvert à la concurrence. Les emprunteurs peuvent comparer, changer et économiser. D’autres pays commencent à suivre, sous la pression de Bruxelles, mais timidement.

Une opportunité à exploiter

Résultat : les Français ont aujourd’hui l’un des meilleurs leviers en Europe pour réduire le coût de leur crédit. En profitant de cette souplesse, ils peuvent économiser plusieurs milliers d’euros. Encore faut-il être informé et agir.

Conclusion européenne sur l’assurance emprunteur

La France montre la voie en matière de liberté et de transparence pour l’assurance emprunteur. Ses voisins restent plus frileux, souvent au bénéfice des banques. Mais la pression européenne pour plus de concurrence et de protection des consommateurs grandit.

Voir aussi : Comment bien préparer son dossier de crédit immobilier

À terme, un marché plus ouvert pourrait émerger à l’échelle de l’UE. Les emprunteurs européens pourraient alors, comme les Français, reprendre la main sur leur crédit.

Vienne redéfinit ses horizons immobiliers en 2025

Vienne ne faiblit pas. Alors que plusieurs capitales européennes subissent des ralentissements, la capitale autrichienne poursuit son expansion immobilière avec une détermination méthodique. En 2025, elle illustre une stratégie d’adaptation continue, entre innovation urbaine, pression démographique et volonté politique.

Vienne, la capitale autrichienne en mutation profonde

La ville reste attractive, tant pour les investisseurs institutionnels que pour les habitants en quête de stabilité. Le marché résidentiel, autrefois prudent, prend désormais des tournures plus contrastées. Certaines zones enregistrent des hausses de prix modérées, tandis que d’autres stagnent ou déclinent sous l’effet des régulations.

Recomposition géographique du désir

Les quartiers périphériques gagnent en intensité. Favorisés par l’extension des lignes de transport (notamment l’U2 et l’U5), des secteurs comme Favoriten, Floridsdorf ou Donaustadt captent une nouvelle classe moyenne. Cette population, souvent exclue du centre historique en raison des loyers élevés, cherche une qualité de vie urbaine sans compromis.

Le centre-ville, quant à lui, durcit son statut d’enclave patrimoniale. Peu de transactions, peu de rénovations, mais une conservation muséale appuyée. L’immobilier y devient un marqueur identitaire plus qu’un levier spéculatif.

Tensions locatives et encadrement renforcé à Vienne

L’État autrichien a durci sa politique d’encadrement en 2024. Depuis, les effets se font sentir. Les investisseurs privés hésitent davantage à entrer sur le marché locatif traditionnel. Le retour sur investissement devient incertain. En parallèle, les propriétaires jouent la prudence. Certains retirent leurs biens du marché. D’autres privilégient les locations de courte durée, malgré une surveillance accrue des autorités.

Conséquence directe : un déséquilibre croissant entre l’offre et la demande dans le secteur intermédiaire. Les loyers plafonnés, s’ils soulagent temporairement certains ménages, ne compensent pas les retards structurels de construction.

Économie circulaire et matériaux biosourcés

Vienne fait de la durabilité une priorité. Les grands projets livrés en 2025 intègrent désormais des matériaux recyclés, des toitures végétalisées et des circuits énergétiques locaux. L’exemple phare : Aspern Seestadt. Ce quartier-laboratoire incarne le modèle viennois de demain. Habitat participatif, mixité fonctionnelle, bâtiments passifs : tout y est pensé pour une empreinte minimale.

Cette approche influence désormais les appels d’offres et les normes. Les promoteurs qui n’intègrent pas une démarche environnementale sont exclus des grands programmes publics.

Conséquences pour les investisseurs étrangers

L’appétit pour l’immobilier viennois reste élevé. Les fonds allemands, suisses, mais aussi asiatiques continuent de viser la stabilité autrichienne. Toutefois, les marges de manœuvre se resserrent. En 2025, Vienne durcit ses exigences d’enregistrement et de transparence. Objectif : limiter la spéculation et protéger les résidents locaux.

Ce cadre plus rigide pousse certains investisseurs à réorienter leur stratégie vers l’immobilier tertiaire ou les résidences services. D’autres ciblent les projets en cofinancement public, afin de contourner certaines restrictions.

Incidences sur le marché autrichien global

Ce qui se passe à Vienne dépasse ses frontières. Graz, Linz ou Salzbourg s’inspirent du modèle viennois mais peinent à suivre la cadence. Les prix restent plus accessibles, mais les infrastructures et les services ne suivent pas toujours. Cela crée des micro-déséquilibres, accentués par les migrations internes vers la capitale.

Vienne reste donc le baromètre du pays. Sa politique immobilière influence les débats nationaux. Sa capacité d’adaptation en fait un terrain d’expérimentation à l’échelle européenne.

Vienne, un modèle sous pression, mais toujours stable

En 2025, Vienne conjugue densification, régulation et innovation. Elle reste un modèle de gestion prudente, mais ses marges d’ajustement s’amenuisent. La ville devra bientôt trancher entre deux impératifs : garantir l’accès au logement ou préserver l’attractivité pour les investisseurs.

Voir aussi – Grèce : comment la « Golden Visa » a transformé le marché immobilier d’Athènes

Le marché immobilier autrichien tout entier observe cette tension. L’équilibre est encore là. Mais pour combien de temps ?