L’immobilier en Bulgarie un eldorado pour les investisseurs étrangers

Acheter une propriété en Bulgarie peut sembler simple, mais les règles diffèrent selon votre statut. Si vous êtes ressortissant de l’Union européenne (UE) ou de l’Espace économique européen (EEE), vous pouvez acquérir des biens immobiliers et des terrains sans restriction. En revanche, les étrangers non issus de ces zones doivent faire preuve d’ingéniosité pour contourner certaines limitations.

Les possibilités d’achat pour les étrangers

Les appartements et condominiums, ne comprenant pas de terrains, sont facilement accessibles à tous les acheteurs étrangers. Cependant, si vous souhaitez acquérir un bien incluant un terrain, la situation se complique. Dans ce cas, les non-ressortissants de l’UE ou de l’EEE doivent constituer une société bulgare pour acheter légalement le terrain.

Investir en Bulgarie pour obtenir un permis de séjour

Acquérir un bien immobilier en Bulgarie ne suffit pas pour obtenir un droit de séjour automatique. Cependant, cela peut faciliter l’obtention d’un permis de séjour prolongé, à condition de remplir des critères précis.

Un investissement minimum de 600 000 BGN (environ 300 000 EUR) dans des propriétés bulgares est requis. Cet investissement peut être réparti sur plusieurs biens. Les étrangers hors UE/EEE doivent également obtenir un visa de type D, indispensable pour toute demande de permis de séjour prolongé.

La procédure pour un permis de séjour prolongé

Une fois l’investissement requis effectué, le processus pour obtenir un permis de séjour prolongé se déroule en plusieurs étapes :

  • Virement bancaire : Le montant total de l’achat doit être transféré sur le compte bancaire bulgare du vendeur. Le paiement doit être complet et sans condition.
  • Soumission des documents : Les documents nécessaires, incluant le titre de propriété et une preuve d’investissement, doivent être déposés auprès du ministère bulgare de l’Intérieur.
  • Réception du permis : Une fois les documents validés, un permis de séjour prolongé d’un an est délivré. Ce permis est renouvelable chaque année.

Une route vers la citoyenneté bulgare

L’investissement immobilier offre également un cheminement vers la résidence permanente, puis la citoyenneté :

  • Résidence permanente :

Après cinq ans avec un permis de séjour prolongé, vous pouvez demander la résidence permanente. Ce statut vous libère de l’obligation de renouveler votre permis chaque année.

  • Citoyenneté :

En conservant la résidence permanente pendant cinq années supplémentaires, vous devenez éligible à la citoyenneté bulgare.

Documents requis pour les démarches

Pour toute demande de permis de séjour prolongé basée sur un investissement immobilier, voici les documents nécessaires :

    • Le titre de propriété du bien immobilier.
    • Une preuve d’investissement conforme aux exigences.
    • Des justificatifs spécifiques exigés par le ministère de l’Intérieur.

Pourquoi investir en Bulgarie


La Bulgarie séduit de plus en plus d’investisseurs étrangers grâce à son coût de la vie attractif, ses paysages diversifiés et son marché immobilier compétitif. Le pays offre des opportunités particulièrement intéressantes pour les résidents européens souhaitant diversifier leur patrimoine ou obtenir un pied-à-terre dans un pays dynamique.

Cependant, avant de se lancer, il est crucial de comprendre les subtilités légales et de s’entourer d’experts locaux pour éviter les mauvaises surprises.

Les avantages cachés du marché immobilier bulgare

La Bulgarie est devenue une destination privilégiée pour les investisseurs immobiliers cherchant un excellent rapport qualité-prix. Les appartements en bord de mer, les chalets de montagne et même les biens situés dans les grandes villes comme Sofia ou Plovdiv restent bien plus accessibles que dans la majorité des pays européens. Cette compétitivité attire aussi bien les acheteurs individuels que les investisseurs cherchant à maximiser leur rendement.

En outre, la faible fiscalité sur l’immobilier constitue un autre atout majeur. Les taxes foncières et les frais d’achat restent modestes par rapport à d’autres marchés européens, rendant l’investissement encore plus attractif.

Opportunités pour les ressortissants non européens

Bien que l’acquisition de terrains exige la création d’une société, ce processus offre des avantages stratégiques. En possédant une société bulgare, vous bénéficiez de l’accès au système fiscal favorable du pays, avec un impôt sur les sociétés limité à 10 %. Cette double opportunité — posséder des biens immobiliers et gérer une entreprise — ouvre des perspectives intéressantes pour les entrepreneurs et investisseurs étrangers.

La flexibilité dans la répartition de l’investissement est également un point fort. Il est possible d’acquérir plusieurs propriétés pour atteindre le seuil d’investissement requis, permettant ainsi une diversification dans différents types de biens, comme des immeubles locatifs ou des résidences de vacances.

Résidence et citoyenneté un tremplin stratégique

Obtenir une résidence permanente ou la citoyenneté bulgare dépasse les simples avantages immobiliers. Avec un passeport bulgare, les citoyens bénéficient d’un accès sans visa à de nombreux pays, en particulier dans l’espace Schengen. Ce statut constitue une véritable porte d’entrée vers l’Europe pour les ressortissants de pays tiers.

Voir aussi : Ces lois qui protègent les investisseurs immobiliers en Europe

En parallèle, la résidence en Bulgarie donne accès à des systèmes de santé et d’éducation de qualité à des coûts bien inférieurs à ceux pratiqués dans la majorité des pays occidentaux. Cela séduit particulièrement les familles et les retraités cherchant un mode de vie paisible et abordable.

Préparer son investissement immobilier

Avant de se lancer, il est crucial de bien planifier son projet immobilier en Bulgarie. Cela implique de :

      • Faire appel à des professionnels locaux : Engager des avocats spécialisés et des agences immobilières de confiance permet d’éviter les pièges liés aux procédures juridiques complexes.
      • Analyser le marché : Étudier les régions et leurs dynamiques économiques pour choisir des zones à fort potentiel de valorisation.
      • Considérer les revenus locatifs : Le marché locatif, notamment dans les villes universitaires et les zones touristiques, offre des rendements intéressants pour les investisseurs.

Un avenir prometteur

La Bulgarie continue d’attirer de nombreux investisseurs étrangers grâce à son économie en croissance et à sa stabilité relative. Les infrastructures modernes, les subventions européennes et le climat favorable renforcent son attrait.

Dans un monde où diversifier ses actifs devient essentiel, l’immobilier bulgare apparaît comme une option sûre et stratégique, offrant à la fois des perspectives financières et des opportunités personnelles uniques.

L’impact potentiel de l’adoption de l’euro en Bulgarie

La Bulgarie envisage d’adopter l’euro comme monnaie officielle d’ici les prochaines années, une décision qui pourrait transformer le marché immobilier. En rejoignant la zone euro, le pays gagnerait en stabilité économique et attirerait davantage d’investisseurs étrangers grâce à une réduction des risques liés aux fluctuations monétaires. Cela pourrait également entraîner une hausse des prix de l’immobilier, rendant les investissements actuels encore plus stratégiques. Toutefois, ce changement soulève des interrogations sur l’accessibilité des biens pour les acheteurs locaux, une transition qui devra être surveillée de près.

Investir dans les meilleures régions de France en 2024

Investir dans l’immobilier en France oui, mais pas n’importe où ! Quelles sont les meilleures régions de France pour un investissement malin? Découvrez le dans cette video.

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La propriété immobilière, est-ce un placement plus sûr que la bourse?

En Europe, la propriété immobilière attire toujours de nombreux ménages, cherchant sécurité et stabilité. Toutefois, malgré la volatilité des marchés financiers, investir dans un logement reste une solution de placement attrayante. En l’occurrence, la propriété immobilière, offre un rendement compétitif et des bénéfices tangibles. Outre l’augmentation de valeur patrimoniale. Avec la hausse des loyers et les taux d’intérêt en baisse, l’immobilier semble aujourd’hui une alternative stratégique face aux incertitudes de la bourse. Cependant, ce choix est-il toujours le plus avantageux ?

Les locataires migrent vers les périphéries

Face à la pénurie de logements dans les grandes villes européennes, les locataires se tournent de plus en plus vers des communes en périphérie. Cette tendance, portée par la rareté des biens et la hausse des loyers, favorise un engouement pour les zones rurales et touristiques. Où les logements disponibles deviennent aussi rares que dans les métropoles. Les indicateurs montrent une légère détente dans la dynamique, en partie due au ralentissement de l’immigration et à un partage plus fréquent des logements en raison de la hausse des prix. Malgré ce répit temporaire, la demande continuera de surpasser l’offre, rendant improbable un retour à une situation plus équilibrée à court terme.

La propriété immobilière, un ralentissement passager

Du côté de la propriété résidentielle, les tendances montrent une hausse des biens vacants, liée à une augmentation des taux hypothécaires en Europe depuis 2021. Ce phénomène, alimenté par des coûts de financement en forte hausse, a réduit l’attrait financier de la propriété par rapport à la location, incitant les acheteurs potentiels à temporiser et poussant certains propriétaires vers la vente. Cependant, la baisse des taux d’intérêt relance peu à peu l’intérêt pour l’achat, rendant l’acquisition d’un logement de nouveau compétitive par rapport à la location, avec des économies potentielles de 10 à 16 %. Si cette baisse des taux persiste, associée à une hausse continue des loyers, l’achat de biens résidentiels en Europe pourrait redevenir une option privilégiée pour les futurs propriétaires.

Un rendement attractif avec un risque réduit

Les frais associés à la propriété peuvent être comparables, voire parfois supérieurs à ceux de la location, surtout à long terme. Cependant, la plupart des propriétaires européens parviennent à accumuler un patrimoine immobilier important, qui leur procure sécurité et flexibilité, tout en générant un rendement financier notable. En dépit de coûts administratifs et d’une flexibilité moindre, la valeur d’investissement de la propriété reste solide, d’autant plus que les propriétaires bénéficient d’une rentabilité compétitive sur le long terme. D’après des analyses immobilières, le rendement annuel moyen des capitaux propres liés à la propriété en Europe oscille autour de 7 %, un chiffre similaire à celui d’un portefeuille d’actions, mais avec une volatilité nettement inférieure.

La discipline d’investissement : l’avantage clé de la propriété immobilière

L’un des atouts majeurs de la propriété par rapport aux investissements boursiers réside dans sa nature illiquide, qui pousse les propriétaires à conserver leurs biens sur le long terme, sans céder aux pressions des crises passagères. Cet engagement de long terme suit une discipline d’investissement que peu de ménages locataires parviennent à maintenir sur les marchés financiers. Pour les locataires, obtenir un rendement similaire exigerait une discipline sans faille et la capacité d’éviter les pièges émotionnels courants sur les marchés financiers.

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En somme, si la propriété immobilière n’offre pas la souplesse d’un investissement en actions, elle compense par une sécurité renforcée et une discipline qui, au fil des années, se traduisent par des rendements notables.

Tour d’horizon des taxes foncières en Europe et quel avenir avec la CTU en 2025 ?

Les taxes foncières occupent une place cruciale dans le financement des services publics et des infrastructures locales en Europe. Alors que chaque pays applique sa propre politique foncière, la France introduit un nouvel impôt, la Contribution Territoriale Universelle (CTU), prévue pour 2025, afin de compenser la suppression de la taxe d’habitation. Ce tour d’horizon explore les différences entre les systèmes voisins et envisage l’impact potentiel de la CTU en France sur les contribuables et sur les finances locales.

Nouveau modèle de fiscalité locale en France avec la CTU


La taxe d’habitation, supprimée en 2023 pour les résidences principales, représentait une source majeure de financement local. Cependant, cette suppression a engendré un manque à gagner pour les collectivités françaises, évalué à 20 milliards d’euros par an. La CTU, censée entrer en vigueur en 2025, pourrait combler cette lacune et alléger la pression sur les budgets locaux. Son introduction est prévue pour permettre aux collectivités de récupérer une partie de ces revenus, mais elle pourrait varier selon les critères de localisation, de revenu ou de type de résidence.

L’évolution des taxes foncières en Europe

La taxation foncière en Europe est loin d’être uniforme. La diversité de ces approches crée un contraste intéressant : chaque nation ajuste ses taxes pour équilibrer ses besoins en financement public et alléger le fardeau fiscal des citoyens.

Le système de taxes foncières en Allemagne

En Allemagne, le système de taxe foncière, ou Grundsteuer, repose sur une base d’imposition fondée sur la valeur cadastrale des biens immobiliers, mais il est en pleine révision. À partir de 2025, les régions auront plus de liberté pour calculer la taxe foncière en fonction de critères locaux, tels que la surface du terrain, l’emplacement et les caractéristiques du bien immobilier. Cette réforme vise à ajuster la taxation pour mieux refléter les conditions locales, un modèle adaptable qui pourrait inspirer la France dans le cadre de la CTU.

Royaume-Uni : la Council Tax et la Business Rates

Au Royaume-Uni, les propriétaires et locataires paient la Council Tax, calculée selon la valeur de leur bien immobilier. Cette taxe finance une grande partie des services publics locaux, tels que l’éducation, les services de sécurité et les infrastructures de transport. Les « Business Rates » s’appliquent aux entreprises selon la valeur locative des locaux. Ce système à double taxation permet aux autorités locales de s’appuyer sur des revenus réguliers pour maintenir les services essentiels. Cependant, l’augmentation de ces taxes est fréquemment contestée, en raison de l’impact qu’elles exercent sur le coût de la vie, en particulier dans les zones où le marché immobilier est tendu.

Espagne : l’Impuesto sobre Bienes Inmuebles (IBI)

En Espagne, l’Impuesto sobre Bienes Inmuebles (IBI) est une taxe foncière qui finance les services locaux. Calquée sur la valeur cadastrale du bien, l’IBI est prélevée annuellement et gérée par les municipalités. Ce système peut inclure des réductions pour les personnes âgées ou pour les familles nombreuses, ce qui rend la taxe plus équitable. Récemment, certaines municipalités espagnoles ont commencé à ajuster cette taxe pour soutenir des initiatives écologiques, en réduisant par exemple les taux pour les bâtiments énergétiquement performants. La France pourrait s’inspirer de cette approche pour inclure des critères de durabilité dans la CTU.

Italie : La Réforme de l’IMU

L’Italie impose la taxe IMU (Imposta Municipale Unica) sur les biens immobiliers secondaires et commerciaux, car les résidences principales en sont généralement exonérées. Basée sur la valeur cadastrale, l’IMU génère une source de revenus vitale pour les communes italiennes. Depuis quelques années, l’Italie a intégré des exemptions pour les faibles revenus et ajusté les taux selon les communes. Cette flexibilité pourrait être un modèle pour la France qui envisage des variations régionales de la CTU.

Belgique : les droits d’enregistrement et le précompte immobilier

En Belgique, le précompte immobilier représente l’équivalent d’une taxe foncière, appliquée aux propriétaires et calculée sur la valeur locative estimée des biens immobiliers. En complément, les droits d’enregistrement sont payés lors de l’acquisition d’un bien et varient d’une région à l’autre, rendant le système fiscal immobilier relativement complexe. La Belgique laisse aussi aux régions une liberté d’ajustement du précompte, avec des taux spécifiques pour encourager l’investissement dans certaines zones ou pour alléger la pression fiscale sur les résidences principales. Cette adaptabilité pourrait servir de modèle pour des variantes de la CTU selon les régions françaises.

La CTU : un modèle potentiellement inspiré des pratiques européennes ?

Si la CTU entre en vigueur en 2025, elle pourrait s’inspirer des pratiques de ses voisins pour inclure des critères d’équité, de durabilité, et de flexibilité régionale. Une taxe flexible, tenant compte de la valeur du bien, de la localisation et des revenus, pourrait alléger la charge pour les ménages aux ressources limitées. À l’image des modèles espagnol ou allemand, elle pourrait également encourager l’efficacité énergétique et les initiatives vertes en offrant des réductions pour les bâtiments écologiques.

Chiffres clés des taxes foncières en France et en Europe

Les taxes foncières représentent une part significative des finances publiques, tant en France que dans le reste de l’Europe. En 2023, l’impact de la suppression de la taxe d’habitation en France pour les résidences principales a été estimé à environ 20 milliards d’euros par an de perte pour les collectivités locales. Avec la dette publique atteignant désormais 3 228,4 milliards d’euros (soit 112 % du PIB), le besoin de recettes locales supplémentaires devient pressant, ce qui explique la proposition de la Contribution Territoriale Universelle (CTU) prévue pour 2025.

En Europe, les chiffres montrent des variations importantes selon les pays et les régions :

  • Allemagne :

En 2022, la taxe foncière (Grundsteuer) a rapporté plus de 15 milliards d’euros aux municipalités. La réforme prévue en 2025 devrait améliorer la répartition de cette taxe en tenant compte de la valeur du bien et de la surface, un ajustement qui pourrait inspirer la CTU française.

  • Royaume-Uni :

La Council Tax anglaise, qui dépend de la valeur du bien immobilier, représente environ 30 milliards de livres sterling par an (environ 35 milliards d’euros) et finance les services locaux, avec une augmentation progressive pour couvrir les coûts des infrastructures vieillissantes et les dépenses publiques accrues.

  • Espagne :

L’Impuesto sobre Bienes Inmuebles (IBI) génère annuellement près de 12 milliards d’euros, principalement pour les municipalités. Cette taxe, calculée sur la valeur cadastrale, constitue l’une des principales sources de financement local. Certaines villes espagnoles ajustent les taux en fonction des priorités locales, comme l’amélioration de l’efficacité énergétique.

  • Italie :

La taxe IMU sur les résidences secondaires et les biens commerciaux a rapporté environ 10 milliards d’euros en 2022. L’Italie applique des taux plus élevés pour les biens de luxe, tout en allégeant la charge pour les résidences principales et les ménages à faible revenu, une logique que la CTU pourrait également suivre.

  • Belgique :

Le précompte immobilier, une taxe annuelle payée par les propriétaires, représente environ 5 milliards d’euros pour l’ensemble du pays. Ce montant varie selon les régions, car la Belgique autorise des ajustements locaux, permettant aux autorités de réduire ou d’augmenter la taxe en fonction des priorités économiques régionales.

Voir aussi : Panorama des taux de propriété en Europe

En résumé, la fiscalité foncière en Europe révèle des chiffres qui illustrent son importance pour les budgets publics. En France, l’introduction de la CTU pourrait générer de nouvelles recettes comparables aux montants observés chez ses voisins européens, permettant ainsi de répondre aux besoins des collectivités locales sans compromettre les services publics.

Maison squattée, que faire?

Si votre maison est squattée, il est important de réagir rapidement. D’abord, portez plainte auprès de la police en fournissant toutes les preuves de propriété. Ensuite, contactez un avocat spécialisé en droit immobilier pour vous accompagner dans les démarches légales. En fonction de la situation, une procédure d’expulsion peut être lancée, mais celle-ci peut être longue si le squat dure depuis plus de 48 heures. Enfin, restez informé sur les changements de législation concernant les squats pour mieux connaître vos droits.

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