Déménagement, juste ce mot me donne des démangeaisons!

Vous voulez déménager et ne savez pas comment vous y prendre ? Vous êtes perdus et vous ne savez pas quelles sont les étapes d’un déménagement réussi ? Vous vous demandez quelles sont les démarches administratives à effectuer lors de votre déménagement ? Vous avez des questions concernant les cartons de déménagement ? les aides au déménagement ? la prime de la CAF ?

En illustration le déménagement avec la vidéo de Celya

Voir aussi : Comment déménager au Portugal

Le déménagement peut être source de beaucoup de stress car il est fréquent d’oublier des démarches.

La crise de l’immobilier entraînera-t-elle une crise de l’emploi ?

Actuellement, la crise de l’immobilier impacte directement le marché de l’emploi. L’inflation est devenue une source d’inquiétude pour l’accès au logement. Cela représente une préoccupation majeure pour tous. Des entreprises ont du mal à procéder aux recrutements de nouveaux employés et la question du logement est au cœur de cette problématique.

La crise de l’immobilier se répercute sur l’emploi

Avec la flambée des prix et la hausse du taux d’intérêt, la crise immobilière prend de l’ampleur, ce qui entraîne à son tour une crise de l’emploi. Face à cette situation, de nombreuses entreprises cherchent des solutions concrètes. Mais pourquoi le logement a-t-il autant d’impact sur l’emploi et comment y remédier ? C’est ce qu’on va voir de plus près.

Des logements trop éloignés des lieux de travail

Une étude effectuée par l’INSEE a fait le lien entre la crise immobilière et celle de l’emploi. Selon cette étude, il y a une liaison entre la densité de propriétaires et le taux de chômage dans une zone donnée.

Plus précisément, la forte densité de propriétaires risque d’entraîner des tensions sur le marché du logement. A cause de ces tensions, les chômeurs auront de plus en plus de mal à trouver un emploi, car la possibilité de trouver un logement non loin des offres d’emploi est limitée.

L’éloignement du lieu de travail augmente la crise de l’emploi

Le manque de logements et l’explosion des prix sont considérés par le Medef, le réseau d’entrepreneurs français, comme étant les principaux obstacles au recrutement. Ainsi, dans diverses entreprises, beaucoup de postes ne sont pas pourvus à cause de l’éloignement entre le lieu de vie des candidats et leur potentiel lieu de travail.

Ce ne sont désormais plus les saisonniers qui ont du mal à trouver un logement. Au cours des vingt dernières années, la durée du trajet entre le logement et le lieu de travail des salariés a augmenté de manière significative.

Voir aussi: Pourquoi le marché immobilier en Europe est en crise?

Le patron de Medef a souligné que les logements neufs sont rares sur le territoire et l’emplacement des constructions n’ont pas été bien choisies.

Toutefois, la construction ne s’avère pas être la meilleure solution à adopter pour résoudre tous ces problèmes, surtout concernant le logement des saisonniers.

De la difficulté à se loger pour les saisonniers

En 2022, les postes de saisonniers ont vu une baisse de 30 %. Ainsi, environ 70 000 emplois non pas été pourvus. Bien que la crise du logement n’en soit pas la principale cause, elle y joue un rôle important.

Dans le domaine du tourisme, les conséquences sont importantes. Le manque d’employés les oblige à réduire le volume de leur activité.

Face à ce problème, les employeurs du secteur adoptent une certaine stratégie. Pour faire face à la concurrence, certains mentionnent sur leurs annonces la possibilité de location. Beaucoup d’employeurs louent ainsi des places de camping ou des appartements pour loger les saisonniers.

Les villes mettent en place des dispositifs pour éviter la crise de l’emploi.

Par exemple, elles incitent les propriétaires de logements à louer leur chambre disponible aux travailleurs.

Pour le soutien du logement, le Gouvernement et les acteurs du marché immobilier ont pris des mesures. Parmi elles, il y a la mise à disposition de 300 chambres universitaires aux saisonniers.

Chute des transactions dans l’immobilier commercial en France

Le secteur de l’immobilier commercial en France se distingue par un fort ralentissement au premier trimestre 2022. Notamment en enregistrant une baisse de 12 % des transactions par rapport à la même période en 2021. Cette contraction a particulièrement affecté le volet bureaux, affichant un fort recul de 45 % en glissement annuel. En l’occurrence, une performance inhabituelle pour ce secteur traditionnellement dynamique. Les secteurs du commerce et de la logistique ont néanmoins permis de compenser partiellement ces pertes. Dans cet article, nous allons faire le point sur la reprise de l’investissement immobilier en France.

Une chute accélérée des investissements au deuxième trimestre

La chute de l’investissement dans l’immobilier d’entreprise en France s’est accentuée au cours de l’année 2022. Il en résulte une inquiétude croissante pour le secteur, notamment parce que la flambée des taux d’intérêt fixés par la Banque centrale européenne (BCE) renchérit le coût du crédit, réduit le pouvoir d’achat immobilier des futurs acquéreurs et a donc un impact négatif sur la demande de biens immobiliers.

En conséquence, le nombre de transactions concernant les bureaux, les commerces et les entrepôts a diminué de 61 % au cours de l’année écoulée, atteignant le seuil critique de 2,5 milliards d’euros. Ce chiffre, tiré du dernier rapport Immostat consulté par l’agence de presse Bloomberg, témoigne de la gravité de la situation dans le secteur de l’immobilier commercial.

C’est la troisième baisse consécutive, suite à des contractions de 35 % et 52 % au cours des deux trimestres précédents. Portant sur des transactions d’une valeur supérieure à 4 millions d’euros, ces statistiques sont basées sur les rapports de quatre grands courtiers, dont BNP Paribas Real Estate et Cushman & Wakefield. Ces dernières années ont donc été marquées par un ralentissement significatif du marché de l’immobilier.

Le marché de l’immobilier commercial en région parisienne

Au vu des données statistiques présentées ci-dessus, il est clair que le marché de l’immobilier commercial traverse depuis quelques années une période de turbulences sur l’ensemble du territoire français. Cette situation est marquée par des désaccords persistants sur les prix entre vendeurs et acheteurs.

En région parisienne, les investissements ont fortement baissé, avec un recul de 61 % à 1,8 milliard d’euros. Ce phénomène est accentué par la diminution persistante du prix moyen au mètre carré des bureaux dans la région, en baisse de 9 % à 7 420 euros, soit son niveau le plus bas depuis le troisième trimestre 2019.

La surface totale des nouvelles ventes ou locations de bureaux occupés par leurs propriétaires, également appelée « take-up », a chuté de 19 % pour atteindre 421 000 mètres carrés au cours du trimestre. Dans le même temps, l’offre immédiate de bureaux a continué de croître, progressant de 10 % en glissement annuel pour atteindre 4,5 millions de mètres carrés.

En somme, cette conjonction de facteurs souligne les défis actuels du marché immobilier commercial, mettant en lumière les complexités des négociations sur les prix et l’impact sur l’activité transactionnelle.

Evaluation et comparaison du marché de l’immobilier commercial en Europe

Le marché de l’immobilier commercial en Europe est actuellement soumis à de fortes turbulences, principalement en raison des taux d’intérêt élevés qui exercent une pression significative sur les évaluations de ce secteur. Face à cette réalité, les investisseurs ont réorienté leurs capitaux vers des actifs plus favorables aux hausses des taux, laissant ainsi les fonds immobiliers commerciaux en perte de vitesse. Un exemple frappant de cette tendance: La chute vertigineuse de 59 % des investissements dans l’immobilier commercial européen au cours du premier semestre de cette année.

Voir aussi: Que faut-t-il espérer concernant les taux des crédits immobiliers?

Cependant, cette situation soulève des préoccupations majeures, notamment le risque que le désintérêt des investisseurs oblige les fonds immobiliers à céder leurs actifs, ce qui pourrait exercer une pression supplémentaire sur les prix déjà en nette diminution, affichant des baisses à deux chiffres.

L’état actuel des marchés est particulièrement difficile.

Les fonds immobiliers européens sont actuellement négociés à des prix bien inférieurs à leur valeur intrinsèque. Les investisseurs existants préfèrent quitter le secteur par crainte de nouvelles baisses des prix immobiliers. A cause, sans doute, des nouvelles réglementations en France et en Allemagne. Celles-ci exigent que les traders maintiennent leurs liquidités dans ces fonds pendant une durée déterminée. Toutefois, cette manœuvre dissuade tout nouvel investisseur potentiel.

En aggravant la situation, l’augmentation des taux d’intérêt, qui pèse sur les prix de l’immobilier, rend également plus onéreux le remboursement de la dette, une composante essentielle des fonds immobiliers.

La situation dans son ensemble s’apparente à un jeu d’attente difficile. La principale inquiétude réside dans la durée pendant laquelle les taux d’intérêt demeurent à des niveaux élevés. Si cette situation persiste sur une période prolongée, de nombreux investissements risquent de ne pas atteindre leurs objectifs. Les actions ne sont pas épargnées! En effet, les taux élevés affectent à la baisse les valorisations des entreprises et la valeur de leurs bénéfices futurs.

Cependant, il faut noter que l’immobilier européen pourrait, étrangement, représenter un choix plus sûr. Cependant, la persistance de cette situation incertaine inquiète les investisseurs. Car la durée prolongée des taux d’intérêt élevés pourrait finalement entraîner des conséquences graves pour de nombreux investissements, y compris les actions, qui voient leurs valorisations diminuer en raison de ces taux élevés.

Faire face à la situation actuelle du marché de l’immobilier commercial en Europe peut s’avérer crucial.

Envisager des actions pour renverser cette situation. Voici quelques suggestions pour un proche avenir :

Diversification des investissements :

Il est important de diversifier votre portefeuille en investissant dans une gamme d’actifs financiers. Par exemple: des actions, des obligations, des matières premières, et éventuellement de l’immobilier dans des marchés plus stables. La diversification peut aider à réduire les risques associés à un marché spécifique.

Réexamen de l’immobilier existant :

Si vous avez déjà investi dans l’immobilier commercial en Europe, réexaminez vos investissements existants. Passez en revue les rendements, les loyers, et la performance globale de ces actifs pour vous assurer qu’ils sont toujours en phase avec vos objectifs financiers.

Suivi des taux d’intérêt :

Gardez un œil sur l’évolution des taux d’intérêt. Car cela peut avoir un impact significatif sur la performance des investissements immobiliers. Si les taux d’intérêt commencent à baisser, cela pourrait potentiellement créer de nouvelles opportunités sur le marché immobilier.

Patience et horizon à long terme :

Gardez à l’esprit que les marchés financiers peuvent être volatils à court terme. Si vous avez un horizon d’investissement à long terme, il peut être judicieux de maintenir vos investissements actuels. Notamment en gardant à l’esprit que les cycles économiques finissent par évoluer.

Il est important de noter que la situation sur les marchés financiers évolue constamment. Dans cette situation il faut absolument rester informé et s’adapter en conséquence.

Un appartement à Londres pour moins de £1000

L’immobilier à Londres est cher. Pourtant beaucoup de français s’expatrient, surtout des jeunes. Alors comment font-ils pour trouver un appartement « abordable » à Londres ?

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Comment investir en immobilier quand on est jeune ?

Investir en immobilier est une technique très avantageuse pour se constituer un patrimoine. Bien qu’elle puisse paraître difficile, il est essentiel de savoir que, même en tant que jeune investisseur, il est tout à fait possible de se lancer dans cette aventure, avec la possibilité d’en retirer des bénéfices à long terme. Dans les prochaines parties de cet article, nous vous donnerons des conseils concrets pour vous aider à réaliser votre projet d’investissement immobilier.

Pourquoi choisir d’investir en immobilier ?

Avant d’entrer dans le vif du sujet, parlons un peu des avantages pour les jeunes d’investir en immobilier :

  • Tout d’abord, il permet de créer un patrimoine solide. En commençant tôt, vous disposez de plus de temps pour faire fructifier vos investissements, ce qui peut se traduire par un patrimoine considérable à l’avenir.
  • Par ailleurs, l’investissement immobilier peut générer des revenus passifs réguliers, surtout s’il s’agit d’un investissement locatif, grâce aux loyers perçus. Cela peut contribuer à votre indépendance financière et à votre sécurité à long terme.
  • Pour finir, l’immobilier est un excellent moyen de diversifier votre portefeuille d’investissement, réduisant ainsi les risques liés à une concentration excessive sur un seul type d’actif.

Quel type d’investissement immobilier réaliser quand on est jeune ?

Lorsqu’il s’agit d’investir dans l’immobilier, vous avez le choix entre plusieurs options :

  • La résidence principale

L’achat d’une résidence principale est une solution très intéressante pour les jeunes. D’une part, vous ne payez plus de loyer, tout en vous constituant un patrimoine immobilier. D’autre part, la plus-value réalisée lors de la revente de votre résidence principale est exonérée d’impôt. Enfin, vous pouvez bénéficier de prêts bonifiés, comme le PTZ, réservés à l’achat d’une résidence principale.

  • L’investissement locatif

Investir dans l’immobilier locatif est un choix judicieux, dans la mesure où il permet de générer des revenus passifs. Notez que le montant de ce loyer mensuel dépend directement du type de bien que vous choisissez. Pour maximiser vos chances de percevoir un revenu substantiel, il est préférable d’envisager d’investir dans deux logements locatifs.

Lire aussi : Que faut-t-il espérer concernant les taux des crédits immobiliers?

Conseils pour réussir à investir en immobilier

Avant d’investir dans un projet immobilier, il faut commencer par bien se préparer. Pour cela, nous vous proposons quelques conseils :

  • Définir votre projet immobilier

Définir les principales raisons pour lesquelles vous souhaitez investir dans un bien immobilier vous aidera à vous préparer correctement. Investissez-vous dans l’immobilier pour préparer votre retraite, pour vous constituer un patrimoine ou pour assurer l’avenir de votre famille ? Les réponses à ces questions vous permettront de mieux affiner votre recherche et votre plan d’investissement.

  • Déterminer votre capacité d’emprunt

Pour choisir votre bien, vous devez avant tout tenir compte de l’argent dont vous disposez. Le plus souvent, les jeunes investisseurs se font accompagner par leur banque pour demander un crédit immobilier. Vous devez donc évaluer votre capacité d’emprunt, afin de connaître vos limites en termes d’investissement.

  • Sélectionner le bon emplacement

La réussite dans l’immobilier passe par le choix d’un emplacement où la demande locative est forte. Pour cela, il faut vérifier que la ville est attractive pour vos futurs locataires en analysant les infrastructures, l’accessibilité des commerces, les réseaux de transport et le bassin d’emploi à proximité. Ainsi, votre bien aura plus de chances d’être loué si vous trouvez un emplacement qui fait gagner du temps à vos locataires.