Les avantages de l’investissement locatif

L’investissement locatif est une procédure plutôt courante qui consiste à acheter un bien (neuf ou ancien) pour le louer par la suite. L’objectif étant de générer des bénéfices supplémentaires, tout en profitant de ses avantages.

Pourquoi s’orienter vers l’investissement locatif ?

L’investissement dans l’immobilier est un domaine d’activité de plus en plus populaire sur le marché. Que ce soit d’un point de vue patrimoine, économie, mais aussi d’un point de vue fiscal, les avantages d’investir dans le locatif sont nombreux et particulièrement intéressants !

La rentabilité de l’investissement locatif

Envie d’épargner sur le long terme grâce à un investissement fiable et durable ? L’investissement locatif sera donc parfait pour vous !

Faisant partie des projets d’avenir et de patrimoine, ce projet locatif assure entre autres un revenu supplémentaire régulier et stable. Muni d’une bonne gestion, cet investissement peut assez rapidement devenir très rentable et vous permettre par la même occasion d’économiser de l’argent et ainsi, préparer convenablement votre fin de carrière et donc, votre retraite.

La plus-value générée

Le marché de l’immobilier est un secteur en constante évolution, en particulier lorsqu’il s’agit de la plus-value des biens. C’est principalement pour cette raison, que de nombreux investisseurs saisissent l’opportunité du locatif vu ses risques relativement faibles.

Vous l’aurez donc compris, investir dans le locatif, c’est garantir avant tout un dégagement de marges considérables vu la meilleure valorisation de votre bien.

La défiscalisation

Qui dit investissement locatif dit forcément avantages fiscaux. En effet, ayant plusieurs dispositifs de défiscalisation, l’investissement locatif est une parfaite aubaine pour gagner de l’argent tout en bénéficiant de réductions d’impôts allant de 12 % jusqu’à 21 %. Tout dépendra en réalité du dispositif adapté à votre profil ainsi qu’au bien immobilier investi.

Quels sont les dispositifs de défiscalisation mis en place pour l’investissement locatif ?

L’investissement locatif est un marché particulièrement apprécié par les gouvernements ainsi que les politiques, vu son impact significatif quant à la construction de logements ainsi que de leur financement.

C’est ainsi qu’il est possible de bénéficier de nombreux avantages fiscaux en investissant dans le locatif, vu les dispositifs suivants :

  • La loi Pinel : offre une défiscalisation de 21 % pour un investissement de 12 ans.
  • La loi Bouvard : permet de réduire les impôts de 11 % pour une limite d’achat de 300 000 euros.
  • Le dispositif LMP : ce statut permet de rembourser la totalité de la TVA, tout en attribuant un amortissement fiscal considérable.
  • Le dispositif LMNP : propose une déduction des charges sans compter l’amortissement.
  • La loi Malraux.

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À noter que tous ces dispositifs ne sont pas compatibles entre eux. Chacun dispose en effet de conditions d’éligibilités spécifiques et uniques.

Le financement d’un investissement locatif

Il faut savoir que la meilleure manière d’obtenir un financement pour votre investissement est l’emprunt. Représentant un accord signé avec un organisme financier ou de crédit, le prêt engage son propriétaire à rembourser l’intégralité des mensualités, et ce, à travers les revenus générés par la location en question.

Veillez toutefois à calculer la future rentabilité de votre projet avant de vous lancer. Cela vous évitera de tomber dans le piège des dettes.

 

 

Investissement immobilier en Europe : les pièges à éviter

D’après les statistiques, un Français sur trois envisagerait de se procurer un bien immobilier à l’étranger, que ce soit pour y passer ses vacances, s’y installer pour la retraite, ou tout simplement pour investir dans l’immobilier à l’étranger. Les destinations prisées des Français se trouvent pour la plupart en Europe. Cela dit, se procurer un bien immobilier n’est pas une chose à prendre à la légère. Plus particulièrement lorsqu’il s’agit d’un achat à l’étranger, où les lois et les normes diffèrent. Nous vous montrons ici les principaux pièges à éviter pour un investissement immobilier en Europe.

Se renseigner sur la juridiction du pays

Il va sans dire qu’en allant d’un pays à l’autre, vous ne tomberez jamais sur la même juridiction. En effet, même si certaines peuvent sembler similaires, elles diffèrent toujours au moins par quelques détails, et ces derniers peuvent s’avérer décisifs. Afin de ne pas vous faire arnaquer de quelque manière que ce soit, vous allez donc devoir vous renseigner en profondeur sur les droits de propriété ainsi que les normes de l’immobilier dans le pays où vous souhaitez investir.

Le site J’achète mon logement est disponible pour vous aider dans le cas de 22 pays membre de l’UE. Il s’agit d’une plateforme mise à disposition par le Conseil des Notariats de l’Union Européenne. Le site vous fournit des informations utiles, comme les documents nécessaires au contrat de vente, les types de financement possibles, le niveau de protection du propriétaire, ainsi que toutes les formalités à connaître pour pouvoir réaliser une transaction en bonne et due forme.

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Attention à la conformité !

C’est une chose à laquelle on ne pense pas souvent en tant que français, mais dans votre quête d’investissement immobilier en Europe, il faut impérativement veiller à ce que le bien auquel vous vous intéressez soit totalement légal, notamment dans certains pays.

Il est vrai que dans des pays comme la France ou encore l’Italie, les constructions sont soumises à une obligation de garantie décennale de la part des constructeurs. Cela vous permet de bénéficier pendant 10 ans d’une garantie contre les vices cachés de la maison ou du bien en question ; tels que des fondations bancales, un défaut d’étanchéité ou encore une dalle fissurée. Avec ce document, vous pouvez être tranquilles, mais certains pays n’en imposent pas spécialement. Parfois, le permis de construire n’est carrément pas respecté, avec des bâtisses construites au-delà du périmètre autorisé.

Quoiqu’il en soit, il convient d’exiger au vendeur de présenter un certificat de conformité , afin d’éviter de rencontrer des soucis par la suite.

Entourez-vous de personnes qualifiées pour votre investissement immobilier en Europe

Autant vous le dire tout de suite, vous ne vous en sortirez jamais seul si vous souhaitez réaliser un investissement immobilier en Europe sécurisé. Les lois contiennent bien trop de détails, qui varient beaucoup d’un pays à l’autre, pour que vous puissiez tout maîtriser et être à l’affût du moindre souci. Nous vous conseillons donc de faire appel à un avocat ou un notaire, parfois les deux selon le pays ; ainsi qu’à un traducteur, pour mener à bien votre projet. Vous pourrez également vous rapprocher d’une agence francophone dans le pays souhaité afin de vous garantir d’être entouré des personnes les plus compétentes et spécialisées.

Comment se former en immobilier ?

Que ce soit par vocation ou même sur le tard, il est toujours possible de se former en immobilier. Par se former en immobilier, on entend par là la possibilité de profiter d’une formation permettant d’accéder à un poste salarié auprès d’une agence immobilière. Celles-ci ont toutes des exigences bien particulières et c’est pour cette raison qu’il faut connaître exactement le métier auquel on aspire afin de mieux déterminer son orientation en conséquence.

Se former en immobilier ne nécessite pas de longues études

Contrairement aux idées reçues, les métiers de la vente immobilière, aussi complexes et exigeants puissent-ils être, ne nécessitent pas tous des études de longue durée. Il existe bien évidemment des formations qualifiantes telles que des Masters en immobiliers, des BTS immobiliers entre autres licences professionnelles, elles aussi, centrées autour des métiers de l’immobilier, cependant, il est aussi possible de devenir un agent immobilier sans aucun diplôme.

En effet, bien que des compétences techniques soient nécessaires et même indispensables à la pratique d’un métier en lien avec la vente immobilière, se former en immobilier, au-delà des études, revient aussi à obtenir des compétences bien particulières. Les métiers liés à la vente dans l’immobilier nécessitent de la polyvalence et surtout, des capacités humaines particulières.

Le talent d’un négociateur en immobilier ne s’apprend pas nécessairement dans les livres. Il est question d’une pratique qu’un parcours académique classique ne saurait fournir. Aussi, se former en immobilier passe avant tout par la pratique. Une pratique qualifiante qui peut s’accomplir auprès d’un organisme de formation adapté aux métiers de l’immobilier.

Le besoin de se former en immobilier pour se reconvertir

Beaucoup de salariés se reconvertissent dans le secteur de la vente immobilière. Cela tient au fait que ce secteur recrute très souvent grâce au dynamisme du BTP. Aussi, cette formation, même quand on est débutant, avec de la bonne volonté et surtout, un organisme de formation fiable, peut s’accomplir très rapidement.

Bien entendu, il n’est pas permis à tous de quitter son travail du jour au lendemain afin d’opter pour un métier dans la vente immobilière. En effet, savoir se former à l’immobilier implique en premier lieu de déterminer à quel métier exactement on souhaite se consacrer. Ce n’est qu’alors que la question des formations à envisager pour se former à l’immobilier commencera à se poser.

Enfin, gardez à l’esprit que vous pourrez aussi vous former à distance pour que la transition entre votre métier actuel et le prochain dans le secteur de l’immobilier puisse s’occasionner sans heurt.

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Quelle est la meilleure manière de se former en immobilier

Une fois le métier ciblé, ils vous faudra opter pour une formation qualifiante. Se former peut passer par une formation en alternance auprès d’un cabinet de vente immobilière, même en tant que débutant.

Avant d’obtenir la carte professionnelle pour devenir agent immobilier, vous pourrez soit passer par une formation universitaire exigeant au moins bac +2 dans les métiers de la vente immobilière, ou bien avoir attesté de plusieurs années de pratique auprès d’un agent immobilier, lui-même titulaire la carte professionnelle.

Selon votre degré d’investissement ou vos besoins immédiats, que vous ayez le temps ou non pour les études, se former en immobilier ne s’accomplira pas de la même manière. Pour les salariés cherchant à se reconvertir, apprendre en alternance est la meilleure manière de se former en immobilier et apprendre sur le tas, là où les plus jeunes devraient eux envisager un parcours universitaire.

La meilleure manière de se former à l’immobilier varie donc selon les cas. À vous de vous fixer un objectif défini afin que la formation envisagée s’adapte en conséquence.

Diversification : pourquoi vous devriez investir dans les SCPI

Les SCPI présentent de nombreux avantages. Il s’agit d’un produit qui propose un certain nombre de qualités répondant à certains besoins exprimés par les investisseurs. Ces derniers sont, notamment, très nombreux à chercher des alternatives leur permettant de réaliser des profits tout en prenant un minimum de risques. À noter que, dans un souci de diversification, beaucoup d’investisseurs optent pour les SCPI. En effet, ils sont convaincus que cette forme d’investissement est bien plus pertinente pour leur épargne. En 2019, un record a été enregistré avec 8 milliards d’euros, une première en 50 ans. Alors qu’en est-il de l’investissement en SCPI ?

On ne met pas ses œufs dans le même panier…

L’investissement en SCPI, la meilleure alternative

L’investissement en SCPI s’avère être la meilleure alternative pour les investisseurs qui souhaitent à la fois se garantir un certain profit, mais aussi prendre le moins de risque possible. À noter que malgré cet avantage qu’elle offre, sa capitalisation demeure moins importante, de 40 fois, que celle de l’assurance vie. Toutefois, cela ne doit pas décourager les investisseurs dans les SCPI, bien au contraire. Il faut savoir que cette différence n’est nullement liée à la qualité ou à la performance des deux produits, mais il s’agit seulement d’un souci de démocratisation et de la vulgarisation des SPCI, qui sont de nouveaux produits, qui se répercutent sur le niveau de capitalisation.

Pour beaucoup d’experts, la SCPI est considérée comme étant une alternative aux fonds en Euro. En effet, actuellement, les investisseurs en assurance-vie se posent des questions au sujet d’un arbitrage de leurs fonds. Par ailleurs, ils estiment que la SCPI devrait vite remplacer les fonds euros, car elle est bien plus stable à travers le temps.

Les SCPI, concurrent de taille des marchés d’actions

Les marchés d’actions ont enregistré d’excellentes performances en 2019. En effet, à partir du 1er janvier, l’indice du CAC 40 affichait une performance de 30%. Toutefois, cela n’a pas totalement satisfait les investisseurs qui sont surtout en quête de régularité du rendement et la réduction de la volatilité des actifs. Ainsi, les SCPI s’avèrent être l’alternative par excellence pour les investisseurs.

Par ailleurs, l’idéal pour un investisseur, c’est bien d’opter pour une diversification de ses investissements afin de réduire au maximum les risques de perte et d’augmenter les profits tout en assurant une certaine régularité des gains.

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Le rendement des SCPI

La principale raison qui pousse les épargnants à opter pour les SCPI, c’est bien leur rendement. En effet, un investisseur se demande toujours, quel produit va lui rapporter le plus d’argent, la réponse du moment, c’est : la SCPI. Le rendement moyen annuel des SCPI, qu’on appelle également le TDVM est supérieur à 6%. Cela peut même concurrencer les OPCVM des actions.

À noter que le sous-jacent des SCPI est principalement l’immobilier professionnel. Comme il peut s’agir de commerces, bureaux, entrepôts ou bien d’hôtels. Généralement, cette catégorie d’actif n’est pas très accessible aux particuliers, voire, pas du tout. Toutefois, les SCPI dans leur ensemble, sont accessibles aux particuliers. Ils peuvent très facilement investir dans l’immobilier avec quelques centaines d’euros. Cela est bien sûr très intéressant pour eux et c’est ce qui contribue notamment à la valorisation du produit.

 

Comment investir dans l’immobilier en France quand on est expatrié

De plus en plus d’expatriés français manifestent la volonté d’investir dans l’immobilier en France. Par ailleurs, cela inclut des procédures assez particulières qui diffèrent d’un simple investissement immobilier. Il est donc important pour eux de connaître les étapes à suivre. Ce sont beaucoup plus des procédures de forme incluant notamment, le déroulement des recherches, la focalisation sur les points importants, le déroulement et le financement dudit projet. En effet, beaucoup d’étapes dont l’expatrié devra prendre connaissance. Voici donc comment un expatrié pourra investir depuis l’étranger.

Un  emprunt pour investir dans l’immobilier en France

Tout d’abord, tout expatrié souhaitant investir dans un projet immobilier en France devra s’enquérir de sa capacité d’endettement. Il s’agit de la première étape et qui est bien cruciale, car beaucoup d’investisseurs surestiment leur capacité de financement et supposent qu’un salaire important permet d’avoir une capacité d’emprunt suffisante.

En effet, il n’est pas toujours évident de lancer un projet d’investissement dans l’immobilier. Aujourd’hui, les banques appliquent plusieurs critères, bien stricts, notamment pour les expatriés. Elles les classent par niveau de risque croissant. Voici donc comment ils sont classés :

  • Les expatriés détachés : sous contrat français,
  • Les expatriés avec un contrat local et qui sont employés dans une entreprise française : sous contrat étranger,
  • Les entrepreneurs.

Investir dans un projet immobilier en France lorsqu’on n’est pas résident est très délicat pour les entrepreneurs. En effet, cette catégorie est classée comme « très risquée » par les banques françaises. Bien que ces derniers disposent parfois de salaires très élevés, néanmoins, cela ne leur garantit pas un emprunt immobilier.

Dans le cas où vous pouvez, techniquement, emprunter pour le financement de votre projet, la banque se chargera de l’étude de votre situation d’expatrié. Cela inclut notamment plusieurs critères dont :

  • L’épargne ainsi que le salaire que vous pouvez domicilier en France,
  • Votre situation professionnelle,
  • Votre situation familiale.

Après l’étude de votre dossier, la banque va émettre, par la suite, un avis favorable ou bien défavorable à votre dossier.

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Les recherches immobilières et les visites

Une fois que vous êtes sûr de pouvoir bénéficier d’un emprunt pour le financement de votre projet, vous allez passer à une autre étape encore cruciale et qui est de trouver un bien immobilier à acquérir. Pour ce faire, vous aurez le choix entre, les recherches par internet, via les agences, ou encore d’autres réseaux qui peuvent proposer un immeuble. Cela peut être un notaire, un réseau immobilier pour les expatriés ou encore un avocat.

Toujours est-il que lorsque vous cherchez sur les sites internet ou bien que vous êtes en contact direct avec les émetteurs d’offres, vous devez faire preuve de vigilance. Parfois, il est recommandé de passer par une agence afin d’éviter de vous exposer à d’éventuelles arnaques. En étant expatrié, vous serez sans doute contraint de mener toutes vos opérations à distance, vous serez même amenés à effectuer une visite virtuelle du lieu en question. Parfois, il est recommandé de faire appel à une tierce personne afin qu’elle effectue la visite pour vous afin de s’assurer notamment de certains détails physiques, à l’instar de l’arrivée d’eau, la toiture ou encore l’électricité et le sol. Il y a également d’autres points qu’il faudrait surveiller, à savoir, les charges, les taxes ainsi que les derniers PV de l’AG.