Durcissement des prêts hypothécaires en France

Une augmentation record des prêts hypothécaires

L’année 2019 a enregistré plus de 900.000 transactions de vente de logements et prêts hypothécaires, chiffre record enregistré au cours des dix dernières années, notamment grâce aux taux d’intérêt historiquement bas. Les statistiques les plus récentes ont montré que les prix des logements avaient augmenté en 2019 en moyenne de 3,4%.

En France, 83% des emprunteurs souscrivent des prêt hypothécaire à taux fixe, ce qui rend le marché immobilier français moins sujet aux ralentissements des autres pays. L’immobilier en France est en outre l’un des marchés les plus structurés et réglementés, ce qui lui a permis de prouver aux yeux du monde qu’il est suffisamment robuste et stable pour résister à des périodes temporaires d’affaiblissement.

Un développement inédit concernant les prêts hypothécaires en France

Le marché hypothécaire en France étant principalement constitué d’hypothèques à taux fixe a été un facteur majeur de stabilisation du marché immobilier, et a permis au marché des prêts hypothécaires de continuer à croître malgré le l’effondrement du marché survenu en 2007.
Au cours des dix dernières années, le marché hypothécaire s’est amplement développé en France. Selon une étude menée par l’INSEE les hypothèques françaises ont augmenté en valeur, passant de 23% du PIB de la France à 43% du PIB en 20 ans, ce qui fait du marchés hypothécaire français l’un des plus grands au monde. La solvabilité des créanciers hypothécaires en France a parallèlement augmenté de 33%. Ce résultat a permis au pouvoir d’achat immobilier des créanciers hypothécaires français d’augmenter de 30%.

En conséquence, même si et une légère augmentation des taux en 2020 a pu être remarqué, et que les Banques se montrent plus exigeantes en terme de critères pour l’accord des crédits, n’oublions pas qu’il va de l’intérêt des banques d’accorder à leurs clients le financement de leurs projets, et en parallèle le marché immobilier français demeure stable, ces facteurs nous donnent de bonnes raisons d’être optimiste pour une reprise des prêts hypothécaire à des taux intéressants.

L’immobilier commercial en chute libre

Une chute vertigineuse

Les différents secteurs de l’immobilier commercial se sont divisés au cours des dernières années en différentes trajectoires, avec certains types de propriétés, telles que les immeubles de bureaux ou industriels, atteignant de nouveaux sommets, et les locaux de vente et commerce au détail diminuant de plus en plus.

Depuis maintenant plusieurs années, les propriétés commerciales souffrent du changement observé depuis le passage des magasins physiques au commerce électronique. Ce changement ayant augmenté sans relâche au fil du temps, a cependant explosé en Mars et Avril 2020.

Suite à la fermeture de leur magasin, les locataires de biens commerciaux ont maintenant du mal à payer leur loyer ou ne peuvent carrément plus l’assumer. Certains d’entre eux cesseront complètement leurs activités; d’autres tenteront de rester en activité mais renégocieront leurs baux.

Ce changement qui a été progressif ces dernières années a été drastique ces derniers mois, ce qui a plongé le secteur de l’immobilier commercial dans la tourmente.

Les bureaux restent une valeur sûre

Cependant comme le secteur de la vente au détail, le secteur des bureaux est également confronté à de nouveaux défis structurels à l’avenir, car les stratégies de travail à domicile ont été déployées avec succès pendant la crise du coronavirus durant ces derniers mois, et certaines entreprises et fournisseurs de services y voient une alternative intéressante avec une productivité élevée pour de nombreux emplois.

Néanmoins, Selon les derniers indice publiés par le European Maket Agency, les deux secteurs les moins touchés sont les immeubles industriels et les bureaux qui reste à ce jour un secteur relativement sûre pour l’avenir de l’immobilier commercial.

Nouvelles opportunités immobilières pour les jeunes

Les jeunes cherchant l’accès au logement, ont plus de limites que les autres segments de la population. Cela est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit d’acheter un bien immobilier. On estime que beaucoup de ces jeunes préfèrent investir leurs ressources dans des voyages ou d’autres expériences de vie plutôt que dans des investissements matériels ou des biens immobiliers.

En ce sens, on peut dire qu’il existe un certain scepticisme de la part des jeunes lorsqu’il s’agit d’investir leur capital dans des biens physiques. En ce qui concerne le logement, les jeunes en Europe sont actuellement confrontés aux difficultés d’épargne qui accompagnent le fait de ne pas avoir un emploi stable et consolidé pour un grand nombre d’entre eux.

Les grandes villes d’Europe difficiles d’accès à l’achat toujours en vogue auprès des jeunes

Les grandes villes attirent les jeunes, mais il est presque toujours difficile pour eux d’envisager d’y acheter une propriété. Ces difficultés ont fait que, dans de nombreux cas, les jeunes qui achètent une propriété dans une grande ville décident de l’acheter en banlieue, où ils peuvent accéder à des propriétés plus grandes et moins chères que dans les quartiers plus centraux.

La jeunesse du 21ème siècle et née dans un monde numérique et est parfaitement capable de manipuler la technologie, ce qui lui permet de mener à bien le processus de recherche d’un bien immobilier rapidement et avec peu d’efforts. Il existe actuellement des institutions financières qui proposent des produits destinés à faciliter l’achat de biens immobiliers par les jeunes, mais il n’est pas facile pour un jeune d’envisager l’achat d’une maison.

Seulement un tiers des jeunes européens est propriétaire

Selon une étude, en 2016, 29,4 % des jeunes en Europe étaient propriétaires d’un bien immobilier, bien que cet étude fasse état des difficultés qu’éprouvent beaucoup d’entre eux à contracter un prêt immobilier. On estime que les jeunes qui n’ont pas atteint la trentaine consacrent un peu plus de 33% de leur salaire au logement. Beaucoup veulent vivre au centre des grandes villes, où il est pratiquement impossible d’envisager l’achat d’un bien immobilier. Cela signifie que, dans de nombreux cas, les jeunes choisissent de louer, alors que les prix du loyer sont élevés dans les grandes villes, ce qui fait que cette option n’est pas non plus facile.

La Grèce parmi les opportunités immobilières les plus intéressantes en Europe

Des projet sont actuellement en cours dans certains pays comme la Grèce, qui vise à construire plus de 30 000 logements locatifs au cours des cinq prochaines années. Ces maisons seront vendues à un prix inférieur au prix habituel du marché afin de favoriser l’accès aux jeunes.

Immobilier en Croatie: Vers une diminution des ventes et une stabilisation des prix pour les logements

La Banque nationale de Croatie a enregistré une augmentation de 8% en 2019 par rapport à 2018, le taux de croissance le plus élevé depuis 2007, mais les analystes misent sur une baisse sensible des ventes et une stabilisation des prix de l’immobilier en Croatie.
Cette augmentation serait liée à la hausse des prix des bâtiments existants + 8,2% et des bâtiments neufs + 7,4%

Au niveau national, les prix des logements en 2019 restent inférieurs en moyenne par rapport à 2009, malgré la hausse sensible enregistrée l’an dernier.

Une Baisse des ventes de l’immobilier en Croatie est à prévoir selon les analystes

« Nous envisageons sur le marché du logement une baisse significative des ventes au cours des prochains trimestres de 2020, compte tenu du fait que, en dehors de la baisse de la demande, une partie des acteurs du marché différera l’achat et la vente de biens immobiliers aux prix actuels, » ont ils déclaré.

Concernant les pays voisins de la Croatie, seule l’Italie a enregistré une nouvelle baisse de -0,2% sur les prix des logements pour la troisième année consécutive, alors que d’autres pays continuent à observer des hausses.

 

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Bonne nouvelle: Hausse des investissements immobiliers en Europe malgré le coronavirus

Au premier trimestre de 2020, la valeur totale des investissements dans l’immobilier commercial en Europe a dépassé les 80 milliards d’euros. Cela signifie à une augmentation de 49% par rapport à 2019. Les augmentations étaient visibles sur pratiquement tous les marchés, y compris la Grèce et ses îles.

«Les résultats records du premier trimestre montrent à quel point l’appétit des investisseurs immobiliers mondiaux était grand. Bien sûr, depuis mars, nous observons un net changement d’humeur en raison de l’épidémie de coronavirus et de son impact sur les personnes, les entreprises et l’économie dans toute l’Europe. Les effets de ce phénomène ne seront visibles que dans les trimestres suivants. Le marché immobilier est entré dans une période d’incertitude associée au coronavirus sous une très bonne forme, ce qui nous permet à long terme de rester optimistes », a déclaré le chef du département des investissements au CBRE.

Des augmentations significatives du volume des investissements immobiliers ont été notées, notamment en Grande-Bretagne, où la valeur des transactions s’est élevée à 16,9 milliards d’euros, soit 32% de plus par rapport à la même période l’an dernier. Cette augmentation au Royaume-Uni est le résultat, entre autres, d’une plus grande stabilité politique après les résultats des élections législatives de décembre. De bons résultats ont également été enregistrés en France, en Allemagne et en Espagne – une augmentation de 39%, 96% et 56% respectivement.

Les bons résultats du premier trimestre de 2020 en Europe s’expliquent en partie par des retards dans les transactions conclues l’année précédente. De nombreux investissements immobiliers ont été initiés au second semestre 2019, mais ils n’ont été réalisés qu’au cours des premiers mois de cette année. Cependant, même après avoir ajusté le résultat pour les transactions importantes, le résultat au premier trimestre de 2020 était toujours supérieur à celui de la même période l’an dernier.